20 Janvier 2024
Depuis déjà quelques-temps, chaque fois que j’ai la patience d’écouter Emmanuel MACRON (Je sais que certains et, surtout, une certaine, souriront en m’entendant parler de ma patience), je suis un peu stupéfait de ne plus rien relever de l’esprit positionné à équidistance de la droite et de la gauche … qu’autrefois on appelait le centrisme.
Dans sa bouche, on n’entend plus qu’une droite de plus en plus dure … et sa dernière conférence de presse fut même franchement pétainiste ( Travail Famille Patrie … le retour - Jean-Paul-69-07.over-blog.com ).
En y réfléchissant un peu plus, j’ai pensé que cet alignement sur des formulations droitières, voire extrême-droitières, devait se trouver dans les textes rédigés par « ses plumes » qui, comme pour tous ses prédécesseurs, lui préparent ce qu’il dira à des endroits très divers sur des sujets très divers.
Il m’est alors venu un doute qui pourrait alimenter l’émission « Complément d’enquête » … n’y aurait-il pas une « taupe » à l’Elysée pilotée clandestinement par Marine LE PEN ou Eric ZEMMOUR ?
Cet individu a même eu le toupet de suggérer au locataire de L’Elysée de reprendre un slogan utilisé, il y a peu, par Eric ZEMMOUR : « Pour que la France reste la France ».
Il me paraît donc urgent et indispensable de trouver et mettre hors d’état de nuire, ce collaborateur félon.
Il faut déclarer ouverte la chasse à la taupe tout autour du Palais présidentiel … en laissant bien tranquilles les nombreuses taupes qui labourent le pré autour de « La Chaumette » et font partie de la biodiversité … qui doit être préservée en France … pour qu’elle reste la France.
En regardant attentivement d’où viennent et où vont les taupinières on devrait pouvoir découvrir par qui la taupe fut introduite au 55 rue du Faubourg Saint Honoré.
Il y a exactement 231 ans, la République coupa la tête du roi qui avait comploté contre elle et avait tenté de rejoindre les armées qui encerclaient la France … Sans être aussi brutal, il faut trouver la taupe qui fait perdre sa tête au président de la République et l’extirper de sa taupinière élyséenne.
Jean-Paul BOURGÈS 21 janvier 2024