18 Avril 2024
Après l’émotion des recherches algéroises des traces familiales plus que centenaires, j’ai loué une voiture pour aller me promener en Kabylie, avec, pour commencer, une balade le long de la côte avec, par exemple, une étape dans le petit port de pêche de Zemmouri, dont mon amie HAA m’avait souvent parlé.
Ça n’est pas, bien sûr, ce spectacle apaisant qui motive le titre de ce billet mais, tout simplement, j’ai rarement trouvé autant de dos d’ânes sur un itinéraire aussi court qu’entre Alger et Zemmouri … au point que je me demande si les ânes de ce secteur ont encore des dos, après qu’on en ait ainsi parsemé tout le pays.
Je parlerai demain des panneaux que l’on trouve à l’approche de tous les rond-points et ils sont nombreux … ils allument de multiples question sur les relations entre les citoyens et la maréchaussée.
Jean-Paul BOURGÈS le 18 avril 2024