27 Mars 2024
Un gouvernement aux abois, ne pouvant pas, après 7 ans de pouvoir, imputer à celui qui les a précédés tous les péchés d’Israël, se vautre dans la plus abjecte démagogie populiste.
Quand on est ministre des finances depuis un septennat, il est tout à fait scandaleux de découvrir maintenant que l’endettement de la France a atteint un niveau intolérable … après s’être récemment rengorgé que les agences de notation n’aient pas encore abaissé la note de notre pays.
La déclaration figurant ci-dessous explique mon indignation.
Mais où a-t-il vu que le remboursement des soins médicaux était en « open bar » ? Sait-il que, pour qu’on rembourse des dépenses de santé, un médecin doit en avoir décidé la nécessité, traduite par une ordonnance ? Où est « l’open-bar » ?
Il doit confondre la santé avec un derrière accueillant dont il a décrit l’apparence dans son œuvre littéraire inoubliable, « Fugue américaine », publiée l’an dernier, où il écrivait : « Elle me tournait le dos ; elle se jetait sur le lit ; elle me montrait le renflement brun de son anus. "Tu viens Oskar ? Je suis dilatée comme jamais ».
Plutôt que s’exercer à l’open-cul de littérature de gare, il aurait mieux fait d’assurer son métier de ministre des finances avec sérieux.
Jean-Paul BOURGÈS le 28 mars 2024